Quelle période de l’année choisir pour partir au Japon?

L’année 2013 sera à marquer d’une pierre blanche pour moi. Après 20 ans de passion pour le Japon, il est temps pour moi (et pour l’homme qui partage ma vie), de partir dans ce pays qui me fascine tant. Pour organiser le voyage de ma vie, la première question que je me suis posée était : quelle période choisir? Printemps pour les cerisiers? Été pour profiter des vacances? Automne pour les érables? ou hiver pour des fêtes de fin d’année originales ? Voici les critères que nous avons pris en compte.

1- Le Printemps – cerisiers et explosions des prix

La saison commence début mars, mais bat son plein début avril. En effet, le grand événement recherché par les touristes est la floraison des cerisiers. Véritable institution au Japon, cette période de l’année est souvent très demandée, et donc les prix s’en ressentent! Même si ce spectacle est magnifique, il vaut mieux éviter si vous avez un petit budget. Il faut également noter que les hôtels sont pris d’assaut en cette période de l’année dans les grandes villes, à cause des étudiants venant passer leurs examens d’entrée à l’université (l’année scolaire commençant en avril au Japon).

Les grandes dates durant le printemps et dans tout le Japon:

  • 3 mars – Hina Matsuri (la Fête des poupées)
  • 8 avril – Hana Matsuri (la Fête des fleurs)
  • 5 mai – Kodomo no Hi (la Fête des enfants)

2- L’Été – grosse chaleur et matsuri

L’été est une saison difficile au Japon. Il y fait très chaud (jusqu’à 45°C) et très humide (impossible de respirer). C’est également la saison des typhons. Prudence donc. Cependant, c’est une période un peu moins demandée que le printemps (mais on parle quand même de juillet-août), donc avec possibilité de trouver de bonnes affaires. L’avantage de l’été est le nombre important de fêtes locales et de célébrations. A vous les fêtes foraines et les balades en yukata (kimono léger en coton).

 

Les grandes dates durant l’été et dans tout le Japon:

  • 7 juillet – Tanabata (la Fête des étoiles)
  • 13-14-15 juillet – O-Bon (la Fête des morts)

3- L’Automne – bon plan et rouges feuilles

L’automne est une excellente saison pour visiter le Japon. Les grosses chaleurs sont retombées et les arbres commencent à changer de couleur. Le printemps a ses cerisiers, mais l’automne a ses érables rouges! C’est un spectacle tout aussi beau, mais bien moins connu des touristes. N’hésitez pas à y aller en septembre, c’est une période creuse, avec de bons tarifs à la clé. Il y a quelques événements locaux, vous devez donc regarder ce qui est organisé dans la région où vous comptez vous rendre. Par exemple, à Tokyo, c’est la période des tournois de sumo!

La grande date durant l’automne et dans tout le Japon (oui c’est plus calme aussi en cette saison) :

  • 15 novembre – Shichi-Go-San (la Fête des 7/5/3 ans)

4- L’Hiver – pour fêter la nouvelle année

Le Japon est un pays shintoïste et bouddhique, mais on y fête quand même Noël (de façon extrêmement commerciale). Tout est donc ouvert, même si, hasard du calendrier, le 23 décembre est chômé au Japon car c’est l’anniversaire de l’empereur Akihito (le Japon est une monarchie constitutionnelle). La grande fête de fin d’année est plutôt le nouvel an au Japon. Ce serait la fête qui se rapproche le plus de notre Noël : réunion de famille,  cadeaux,  et visite au temple pour amener la chance sur l’année qui arrive. Cela reste une bonne idée pour un réveillon original!

Les grandes dates durant l’hiver et dans tout le Japon:

  • 23 décembre – Tennō Tanjōbi (Anniversaire de l’Empereur Akihito)
  • 1er janvier – Ganjitsu (Jour de l’an)
  • 7 janvier – Nanakusa no Sekku (Fête des 7 herbes)
  • 3-4 février – Setsubun (les jetés de haricots)

Pour notre premier voyage, nous avons personnellement choisi la 2e quinzaine de mai. Il n’y a plus de cerisiers en fleurs, donc on trouve de meilleur prix. Mais les tournois de sumos reprennent, et à Tokyo est célébrée l’une des 3 plus grande fêtes shintoïstes : Kanda Matsuri. Nous avons de la chance, cette fête n’a lieu que les années impaires! Et vous? Quelle période allez-vous choisir?

Cinq adresses pour apprendre le japonais à Paris

Vous avez suivi nos conseils avant de commencer votre apprentissage du japonais, et maintenant vous voulez vous inscrire à un cours. Bravo à vous ! Mais cela va représenter un investissement en temps et en argent. Il faut donc bien choisir son cours. Voici la liste des lieux où vous pouvez apprendre le japonais dans de bonnes conditions dans Paris.

1- Cours pour adultes de la Mairie de Paris

Voici le bon plan pour ceux qui veulent se lancer dans des cours de japonais avec un petit budget. Les cours de la Mairie de Paris proposent un nombre important de cours de langue, dont le japonais. De grand débutant à plus expérimenté, il existe 4 niveaux différents. Pour moins de 200€ pour 1 année de cours (30 cours), avec 2h par semaine, vous aurez droit à des professeurs d’origine japonaise, et à la méthode Minna no Nihongo pour votre apprentissage.

Points forts: Prix imbattable, professeurs japonais, méthode Minna no Nihongo, niveau 4 spécial travail à l’oral
Points faibles: Faible prix donc beaucoup d’appelés et peu d’élus, la procédure d’inscription, peu de choix de cours, seul le 1er livre Minna ni Nihongo est étudié.

Cours Municipaux d’Adultes de la Mairie de Paris
École Élémentaire d’Argenteuil,
11 rue d’Argenteuil, dans le 1er.
Métro : Palais -Royal – Musée du Louvre (Lignes 1 et 7), Pyramides (Lignes 7 et 14)
www.cours-municipal-d-adultes-cma.cma-paris.org

2- A.A.A. – Associations des Amitiés Asiatiques

École installée dans le quartier japonais de Paris, cet institut d’enseignement privé a plusieurs atouts. Cette école propose des cours de japonais, de chinois et de coréen, mais elle accueille également des élèves asiatiques qui viennent apprendre le français. Ainsi des sessions de discussions entre élèves français et japonais sont régulièrement organisées. Les cours sont également très flexibles. Il y a beaucoup d’horaires proposés et on peut s’inscrire tout au long de l’année. Les cours durent 1h30 et des sessions de préparations au JLPT (l’équivalent en japonais du TOEFL) sont possibles.

Points forts: Professeurs japonais, méthode Minna no Nihongo, sessions de discussions avec des étudiants japonais, horaires flexibles, préparations au JLPT, peu d’élèves par classe
Points faibles: Il y avait des cours de calligraphies, mais ils ont été supprimés cette année, le prix.

A.A.A.
21, rue d’Antin, dans le 2e.
Métro : Auber-Opéra (RER A, Lignes 3, 7 et 8) Quatre-Septembre (Ligne 3)
www.aaaparis.net

3- Espace Japon

Lieu culturel sur le thème du Japon, l’Espace Japon propose des cours pour absolument tous les niveaux : du grand débutant à l’expert. Autre avantage, le choix très important d’activités sur la thématique du Japon : cours de cuisine, expositions, ikebana… Les cours réguliers proposés durent 2h et peuvent être “achetés” sur le site. Un immense fond documentaire est accessible aux élèves gratuitement.

Points forts : Professeurs japonais, beaucoup d’activités annexes, peu d’élèves par classe, une bibliothèque est accessible gratuitement pour les élèves et aux extérieurs via une cotisation.
Points faibles : méthode maison, difficile de comparer avec des méthodes déjà bien éprouvées, et de s’adapter si on a commencer son apprentissage du japonais avec une autre méthode.

Espace Japon
12 rue de Nancy, dans le 10e.
Métro : Château d’Eau (Ligne 4), Jacques Bonsergent (Ligne 5), Gare de l’Est (Lignes 5, 4 et 7)
www.espacejapon.com

4- Maison de la culture du Japon à Paris

Institution la plus connue dans Paris, la Maison de la culture propose des cours de japonais d’une durée d’1h30. Les sessions se font par bloc de niveau, et vont du grand débutant au niveau intermédiaire. Les inscriptions se font longtemps à l’avance. Les cours se font par cycle de 3 mois, de septembre à juin. La Maison de la culture propose énormément d’activités annexes.

Points forts : Professeurs japonais, beaucoup d’activités annexes, peu d’élèves par classe, utilisation de la méthode JF Standard
Points faibles : prix, cours par cycle de 3 mois

Maison de la culture du Japon à Paris
101 bis, quai Branly, dans le 15e.
Métro : Bir-Hakeim (Ligne 6), Champ de Mars – Tour Eiffel (RER C)
fr.coursjaponais.org

5- Inalco

L’Inalco, connu également sous le nom Langues O’, est le cursus universitaire classique.Vous pouvez suivre les cours en formation initiale, ou en formation continue avec des cours du soir. En étant élève de l’Inalco, vous avez accès à des cycles de conférences culturelles. Les prix sont attractifs et vous pouvez aussi demander à financer vos cours via votre DIF (Droit Individuel à la Formation) en tant que professionnel. Dans ce cas, les cours sont avec un plus faible nombre d’élèves.

Points forts : Cursus universitaire, prix, cours de civilisation, possibilité d’un cursus en formation continue, centre organisant le JLPT
Points faibles : cours assez lourd (un tome de Minna no Nihongo étudié par an), énormément d’élèves (amphi) dans la formation initiale

Institut National des Langues et Civilisations Orientales
65 rue des Grands Moulin, dans le 13e.
Métro : Bibliothèque François Mitterrand (Ligne 14 ou RER C)
www.inalco.fr

A vous maintenant de choisir le cours qui vous convient le mieux !

Comment découvrir le Japon en restant chez soi ? Le top 3 des émissions sur le Japon

Le Japon est un pays magnifique. Sa culture, son artisanat, sa cuisine, ses paysages, c’est le dépaysement total. Mais un voyage coûte cher, et un séjour de deux semaines minimum est nécessaire pour pouvoir profiter du voyage. Il faut donc un minimum de temps et d’argent pour pouvoir partir au pays du soleil levant. En attendant, il existe plusieurs émissions régulières qui vont vous permettre de voyager au Japon en restant tranquillement au fond de votre canapé. Voici mes 3 émissions télé préférées pour découvrir le Japon.

1- Japan in Motion 


J’avoue, c’est mon émission favorite. Des chanteuses japonaises (idols) parcourent le Japon, font des présentations de l’artisanat de la région, testent la cuisine locale ou visitent des lieux touristiques. Très instructif, drôle et dynamique, cette émission a l’avantage d’être en japonais sous-titré français. Les groupes de chanteuses changent à chaque changement de saison télévisuelle. Le style de présentation change donc en fonction du groupe qui présentera l’émission. C’est tous les mardi soirs à 19h30 sur la chaine Nolife (chaine disponible sur les box ADSL).

Points forts : émissions variées, les présentatrices avec une préférence pour le groupe d’idol Passpo☆ (ぱすぽ☆), la VO sous-titrée, les anciennes émissions visibles sur le site de l’émission.
Points faibles : depuis la dernière saison, un personnage en 3D, typé manga et à la voix assez insupportable, est présente lors des jingle. Trop “cliché” à mon goût.

Edit : Le personnage en 3D a été supprimé des saisons suivantes 🙂 Yatta !

2- Begin Japanology


Voici une émission très intéressante et visible sur NHK World. Beaucoup plus sérieux que Japan in Motion, les thèmes vont de l’histoire d’un ustensile de la vie quotidienne, aux interviews d’étrangers installés au Japon. Très instructif, cette émission vous donnera une approche très académique du Japon. C’est diffusé plusieurs fois par jour, tous les mardi, sur NHK World (chaine disponible sur box ADSL et CanalSat).

Points forts : émissions très complètes, interview d’étrangers installés au Japon
Points faibles : très académique, l’émission n’est disponible qu’en anglais sans sous-titrage…quel dommage pour ceux ne maitrisant pas l’anglais ! Il n’y a pas non plus d’archive disponible.

3- Toco Toco

 

Voici une autre émission que j’adore. Un japonais prend le micro et vous présente un lieu qu’il apprécie. Les personnes interrogées viennent du monde du jeu vidéo, de la musique, ou de l’art. Les lieux présentés peuvent aller du concept bar au jardin public zen à ne pas manquer. C’est très intimiste et les endroits visités sortent des sentiers battus. Vous ne trouverez pas ces adresses dans les guides sur le Japon ! En bonus, la personne faisant la présentation, parle d’un mot de la langue japonaise, qu’il ou elle, voudrait faire découvrir au public français. C’est un lundi sur 2, dans l’émission 101% qui commence à 19h00 sur Nolife (chaine disponible sur les box ADSL). Il y a plusieurs rediffusions dans la semaine. Les archives de l’émission sont également disponibles sur Nolife Online (service payant).

Points forts : lieux originaux, émission en VO sous-titrée, le mot de la fin
Points faibles : archives disponibles que via le service payant de la chaine (mais je vous conseille de vous abonner, cette chaine a d’autres excellentes émissions sur la thématique du Japon)

Quel manga est fait pour vous? Et lequel offrir à quelqu’un? – Partie 2: Adultes

Après avoir vu les manga qui sont destinés à un jeune public, voici ce que vous devez savoir sur les manga réservés aux adultes.

1- Seinen – le manga adulte pour jeune homme

Aujourd’hui, les librairies font bien la différence entre le seinen et les shôjo/shônen. Le seinen est un manga pour jeunes adultes, à partir de 20ans, et pour un public plutôt masculin. Ce type de manga n’est absolument pas pour les enfants, et ce, quel que soit le type de dessin, qui parfois pour des effets de décalage, peut paraître enfantin (NaruTaru ou Oruchuban Ebichu). Il  faut savoir que les japonais n’ont pas du tout la même approche de l’univers graphique que les occidentaux. Ce n’est pas parce que le support est la BD, que le public visé est forcément jeune.

Les seinen sont pour adultes à cause des thèmes abordés, parfois très sombres. Certains peuvent traiter de sujets de société ou de thématiques graves, comporter du langage ou des images crues ou contenir une certaine violence graphique. Les personnages sont souvent bien plus développés que dans les shônen ou les shôjo, plus réalistes et moins manichéens. D’autres ont des sujets assez complexes pour un jeune public et aborder des débats moraux ou philosophiques. Même si le seinen est pour un public masculin, comme pour le shônen, le lectorat peut également être féminin.

Tous le styles sont également représentés. Je vous conseille véritablement de lire des seinen. Certains sont de vraies perles au niveau graphique et scénaristique.

Lecture conseillée : 20th Century Boys (20世紀少年, Nijusseiki Shōnen) de Urasawa Naoki – 22 tomes publiés en France (série terminée)

Ce manga a remporté le Prix de la Meilleure BD 2004 du festival d’Angoulême.

2- Jôsei (女性漫画) ou le Redikomi (レディコミ) – le manga adulte pour jeune femme

Cette catégorie n’existe pas vraiment en France, vous trouverez donc ces manga dans la partie seinen d’une librairie , voir dans la partie shôjo. N’hésitez donc pas à vous renseigner auprès d’un vendeur pour être sûr d’être dans la bonne catégorie.

Le jôsei est le mix du shôjo et du seinen : des histoires d’amour la plupart du temps, dans des univers variés , avec des personnes et des histoires plus complexes que dans les shôjo. La difficulté du passage à l’âge adulte et la place de la femme dans la société sont des sujets récurrents. Un shôjo pouvant évoluer avec son public, il peut devenir un jôsei avec le temps (comme Lady Oscar par exemple – Versailles no Bara en VO).

Lecture conseillée : Bride Stories (乙嫁語り – Otoyomegatari) de Mori Kaoru – 4 tomes publiés (série en cours)

Ce manga est pour moi un véritable coup de cœur. Si vous ne devez offrir qu’un seul manga à une personne réfractaire à ce style de BD, ce serait celui là ! Ce manga a d’ailleurs remporté le Prix Intergénérations 2012 du festival d’Angoulême.

3- Yaoi (やおい) – des histoires d’amour entre hommes pour les filles

Voici un genre très particulier. Le yaoi pourrait être décrit comme une sous-catégorie de jôsei ou de shôjo. Il s’agit d’histoires d’amour, faites pour les filles, écrites par des femmes, mais décrivant des relations homosexuelles entre hommes. Ce style est très codifié. Les personnages sont souvent androgynes, avec un personnage plus viril et un personnage plus efféminé dans les couples décris. Cette catégorie est plutôt désignée sous l’appellation Boy’s Love ou BL (ボーイズラブ) au Japon.

Il existe plusieurs sous-catégorie de yaoi, plus au moins explicite concernant la sexualité. Le shonen-ai est la catégorie la plus grand public et celle qu’on retrouve le plus en France. Les relations sont platoniques ou alors la sexualité n’y est jamais dessinée. J’avoue que je n’ai jamais accroché à cette catégorie, mais ce type de manga fait un carton au Japon comme en France.

Lecture conseillée : New York-New York (ニューヨーク・ニューヨーク – New York New York) de Ragawa Marimo – 4 tomes publiés (série terminée)

Je vous préviens, vous allez verser votre petite larme à la fin du tome 4.

 4 – Yuri (百合) – Quand les filles aiment les filles

Il ne faut pas confondre le yaoi avec le yuri. Le yaoi décrit des relations homosexuelles entre hommes, le yuri décrit des relations homosexuelles entre femmes. Le genre n’existe pas en France, mais on peut trouver des éléments yuri dans certains shôjo ou yôsei publiés en France comme dans Sailor Moon ou Card Captor Sakura. Les codes sont exactement les mêmes que ceux du yaoi mais en version féminine.

Lecture conseillée : Utena – la fillette révolutionnaire (少女革命ウテナ, Shōjo kakumei Utena) de Saito Chiho – 5 tomes publiés (série terminée)

5 – Hentai (変態) et Ecchi (エッチ) – pour public averti

On commence à trouver ces deux catégories dans les rayons de librairie, mais souvent en haut des étalages et sous plastique…et pour cause ! Hentai signifie perversion en japonais. Ici il s’agit de manga interdit au moins de 16 ou de 18 ans et clairement à thématique pornographique. Le style ecchi (prononciation du H de hentai en anglais) désigne toute publication à connotation sexuelle. Bref, si vous tombez sur ces manga en librairie, ce n’est pas vraiment le cadeau discret à offrir pour un Noël en famille. Comme ce blog est tout public, vous n’aurez bien évidemment pas de lecture conseillée pour ces catégories.

Voilà! Vous connaissez maintenant les catégories principales de manga (il existe encore beaucoup de sous-catégories) et pourrez sans encombre trouver celui qui convient le plus à vos goûts ou à ceux de vos proches.

Qu’est-ce qui est plus mignon qu’un chaton et qui amuse les japonais?

Un chaton, c’est quand même hyper mignon (fan de chat inside). Après cela grandit et cela reste rigolo, majestueux, mais cela n’est plus aussi adorable. Il existe pourtant un animal, qui même sous sa forme adulte, reste trop kawaii (可愛い)et que les japonais adorent : le panda roux ! Cet animal , qui est menacé d’extinction 🙁 , est tout simplement une peluche vivante, un mix entre un renard, un ourson, un raton-laveur et un chat ! Il est d’ailleurs l’emblème du navigateur internet Mozilla : Firefox (firefox étant l’un de ses surnoms en anglais, on l’appelle également red panda).

Les japonais, jamais à cours d’idée pour leurs émissions de variété, ont décidé d’enfermer une jeune fille toute une nuit avec deux pandas roux. Le résultat est super mignon, même si on plaint un peu la demoiselle.

 

 

 

 

Pour que cette espèce ne disparaisse pas, n’hésitez pas à en adopter un ou à faire un don au Red Panda Network (site en anglais). Il sont tellement mignons ^^.